Le cartulaire de l’abbaye bénédictine du Monastier Saint Chaffre (Haute Loire) dans une convention passée sous le Roi Lothaire désigne Colombier le Jeune sous le nom de « Columbarium juvené » (955-983). Son église est également nommée parmi les possessions de cette abbaye, dans la bulle du Pape Alexandre III en 1179, et dans celle du pape Clément IV en 1259.

En 1325, la terre de Colombier le Jeune fut vendue par Eustache de La Mastre à Guillaume de Tournon. En 1378 relève du Comté du Forez et forme avec Pailharès et Nozières un îlot Forézien en Vivarais. Cette enclave Forézienne en Vivarais dura un demi-millénaire (1296-1790). Jusqu’à la fin de l’ancien régime, cette vieille appartenance fut toujours respectée.

A 1 km 500 du village, Colombier le Jeune possède un monument funéraire d’Epoque Néolithique, le Dolmen de Chabot, répertorié officiellement dans le 3ème groupe de la vallée du Doux. A proximité vous pourrez découvrir un autre monument mégalithique, moins connu que ce dernier appelé « Pierre du Signal » avec à sa base, une cupule sculptée dans la masse.

 

 

Vous trouverez ci-après un historique de Colombier-le-Jeune jusqu’aux guerres de religion.
Cet historique est le fruit d’un long travail de  M. Bernard GREGOIRE que nous remercions.

Historique de Colombier-le-jeune par M.GREGOIRE